Ce dimanche, je me suis rendu à la rencontre des militants CFDT du supermarché « Match » à Calais. Ils ont souhaité alerter la population concernant
l’ouverture illégale de ce magasin. A cette occasion, j’ai rencontré le directeur du magasin afin de m’assurer s’il avait les documents necessaire à l’ouverture de son supermarché. Il m’a répondu
qu’il n’avait aucun document l’autorisant à cette ouverture. En revanche, il avait eu l’ordre de sa direction régionale. Je vais interpeller Madame le Maire de Calais sur le sujet afin d’agir en
conséquence.

Au delà de l’aspect social, cette attitude est surprenante. Mais à ce que je sache, nous ne sommes pas dans une république bananière ! Si
chacun fait ce qu’il veut, où va-t-on ? Quel bel exemple pour les jeunes !!!!!

Ouverture du dimanche à Match : la CFDT interpelle la sous-préfecture

vendredi 11.04.2008, 05:37

Ouverture du dimanche à Match : la CFDT interpelle la sous-préfecture Le premier adjoint Philippe Blet, qui était au côté de la CFDT dimanche, souhaite que Match ouvre
dans la plus stricte légalité.

Après la manifestation de dimanche sur le parking de Match, la CFDT se réjouit du doublement des heures rémunérées aux salariés « volontaires » qui
souhaitent travailler le dimanche au supermarché. En revanche, elle monte à nouveau au créneau pour dénoncer l’ouverture « illégale  » du magasin.

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By Philippe BLET

Philippe Blet, Président de la Communauté d'Agglomération Cap Calaisis, Terre d'Opale et conseiller municipal de Calais (2008/2015) Membre de la Direction Nationale des Radicaux de Gauche en charge des acteurs sociaux https://lesradicauxdegauche.fr/ Coordinateur régional de D12

3 thoughts on “Hors la loi !!!!!!”
  1. merci philippe d’avoir ajouté mon blog dans tes liens
    Bon courage.
    à bientot
    amities socialistes

  2. Les travailleurs de leader price auront-ils la chance d’être soutenus par monsieur Blet malgré leur section syndicale cgt?ou auraient ils du s’inscrire à la cfdt pour qu’on les écoute?
    ils travaillent depuis 4 dimanches, sans aucune concertation avec la direction qui leur a imposé les heures du dimanche sans les payer plus. Cette équipe de travailleurs qui ont déjà accepté de perdre beaucoup d’acquis collectifs au moment du changement d’enseigne pour préserver leurs emplois est entrée en lutte il y a deux dimanches. Ils ont besoin de soutien pour gagner le droit à ne pas se faire exploiter sans broncher

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