« Il faut être capable de trouver du positif dans
quelque chose qui apparaît d’abord négatif, il faut en faire quelque chose de dynamique », insiste Philippe Blet pour qui cette réforme doit permettre de se pencher sérieusement sur la
question des compétences et de la mutualisation
Il est aussi question de redécoupage géographique. La logique défendue par le président de Cap Calaisis passe par un rapprochement avec les communes de la CCSOC : « Je
comprends la réticence de certains élus mais on doit d’abord penser aux habitants. Nous devons raisonner en terme de bassin de vie. Ça semble logique que les communes de la CCSOC nous rejoignent.
On reviendrait au SIPAC de 1993. » Pour le président de Cap Calaisis, cette union est indispensable : « Il faut que Calais soit la locomotive mais nous avons besoin aussi
des communes environnantes. C’est une ineptie de penser qu’on est en opposition, il faut un équilibre. Dans la CCSOC, on trouve des villes de taille modeste mais on doit respecter au mieux ce
qu’elles attendent, on peut imaginer un mode de fonctionnement particulier et leur laisser certaines compétences.
Lire la suite —>> |