Pour certains, leur mémoire est si courte, qu’ils peuvent
tout se permettre, même d’être à la limite du ridicule.
Monsieur Hénin me compare à une éolienne (conseil municipal du mercredi 30 juin 2010). Très Bien. Sans doute fait-il
référence au souffle nouveau des dernières élections municipales, à ce vent d’air frais qui a poussé l’ancienne majorité et l’a relégué à sa véritable place : une force inerte, sans projet,
sans allant.
Si c’est de cela dont-il s’agit alors j’accepte bien volontiers l’analogie. S’il est question d’autre chose, j’aurai
souhaité de monsieur Hénin, un peu plus de courage et de ne pas attendre mon absence pour jouer les braves.
Nous n’avons pas les mêmes pratiques, c’est évident. Les coups de bluff (candidature à la direction du parti communiste),
les déclarations à l’emporte-pièce (conseils municipaux), les attaques personnelles (le Rusé) font partie d’une vision du combat politique que je réprouve et que les calaisiennes et les
calaisiens ont sanctionné.
Libre à Jacky Hénin de poursuivre sur cette voie. Pour ma part, je ne ferai pas souffler ce vent mauvais sur la vie
politique calaisienne.